14.10.2007, 13:13
TON regard est borné, ton rêve est sans limite;
Tu ne vois que l'azur éployé sur ton front,
Et dans le cercle étroit que trace l'horizon,
Ton âme prisonnière incessamment s'agite.
L'inconnu, l'inconnu mystérieux t'invite !
Jamais les cieux aimés pourtant n'assouviront
Cette soif infinie et ce désir profond
D'une beauté nouvelle, imprévue et subite !
Etendre librement ses ailes, s'envoler
Par la terre diverse et, là-bas, s'en aller
Vers l'autre aspect du monde et son changeant visage !
Voir ce qu'on n'a pas vu, puis, revenir un soir,
Et, sous le même ciel, tranquillement s'asseoir,
L'oeil et l'esprit charmés d'un double paysage !
Tu ne vois que l'azur éployé sur ton front,
Et dans le cercle étroit que trace l'horizon,
Ton âme prisonnière incessamment s'agite.
L'inconnu, l'inconnu mystérieux t'invite !
Jamais les cieux aimés pourtant n'assouviront
Cette soif infinie et ce désir profond
D'une beauté nouvelle, imprévue et subite !
Etendre librement ses ailes, s'envoler
Par la terre diverse et, là-bas, s'en aller
Vers l'autre aspect du monde et son changeant visage !
Voir ce qu'on n'a pas vu, puis, revenir un soir,
Et, sous le même ciel, tranquillement s'asseoir,
L'oeil et l'esprit charmés d'un double paysage !