14.10.2007, 12:43
LOUANGES
C'EST toujours à vos pieds, Seigneur, que je reviens
Lorsque je souffre trop et que j'ai l'âme triste;
A votre grâce auguste aucun mal ne résiste:
Vous êtes, ici-bas, le meilleur des soutiens.
Vos deux bras étendus sur la croix disent: Viens !
Oublie, en m'adorant, tout ce monde égoïste
Par qui tant de douleur injustement existe; [miens !
En pleurant sur tes maux, mon enfant, songe aux
Seigneur, votre voix douce inspire confiance.
J'appelle, et vous prenez aussitôt ma défense,
Et je sens une joie infinie en mon coeur !
Car vous êtes le Dieu proclamé qui délivre,
Celui que les élus au ciel chantent en choeur,
Et de qui l'homme obtient le courage de vivre !
C'EST toujours à vos pieds, Seigneur, que je reviens
Lorsque je souffre trop et que j'ai l'âme triste;
A votre grâce auguste aucun mal ne résiste:
Vous êtes, ici-bas, le meilleur des soutiens.
Vos deux bras étendus sur la croix disent: Viens !
Oublie, en m'adorant, tout ce monde égoïste
Par qui tant de douleur injustement existe; [miens !
En pleurant sur tes maux, mon enfant, songe aux
Seigneur, votre voix douce inspire confiance.
J'appelle, et vous prenez aussitôt ma défense,
Et je sens une joie infinie en mon coeur !
Car vous êtes le Dieu proclamé qui délivre,
Celui que les élus au ciel chantent en choeur,
Et de qui l'homme obtient le courage de vivre !