14.10.2007, 12:40
ÉLOIGNEMENT
LES pires maux sont ceux que l'on souffre en secret,
Comme en l'éloignement infini du silence;
Parfois, entre les coeurs quelle longue distance,
Qu'un mot, ainsi qu'un grand coup d'aile, franchirait !
Laisse ta fausse honte et prends le chemin vrai;
Courageuse, que ta douleur enfin s'élance !
La route des aveux et de la confidence
Vers le soulagement certain te conduirait.
Mais tu ne veux jamais ce que je te propose !
Toujours le coeur ferme comme la lèvre close,
Et toujours ce regard que ton âme dément !
Aussi, parmi ceux-là que l'amitié console,
Que rapproche l'émoi d'une simple parole,
Seul, tu pleures muré dans ton isolement !
LES pires maux sont ceux que l'on souffre en secret,
Comme en l'éloignement infini du silence;
Parfois, entre les coeurs quelle longue distance,
Qu'un mot, ainsi qu'un grand coup d'aile, franchirait !
Laisse ta fausse honte et prends le chemin vrai;
Courageuse, que ta douleur enfin s'élance !
La route des aveux et de la confidence
Vers le soulagement certain te conduirait.
Mais tu ne veux jamais ce que je te propose !
Toujours le coeur ferme comme la lèvre close,
Et toujours ce regard que ton âme dément !
Aussi, parmi ceux-là que l'amitié console,
Que rapproche l'émoi d'une simple parole,
Seul, tu pleures muré dans ton isolement !