21.11.2010, 15:48
Albert Glatigny
Rondel.
Mademoiselle Valentine
A les yeux clairs et le teint blanc ;
Comme un calice étincelant,
Elle ouvre sa bouche enfantine.
Le rondeau, le sonnet galant,
Semblent croître sous sa bottine ;
Mademoiselle Valentine
A les yeux clairs et le teint blanc.
Son épaule ondule, mutine
Et pareille au flot nonchalant,
Et vous l’adorez en tremblant,
O mon cœur ! vous qu’elle piétine.
Mademoiselle Valentine
A les yeux clairs et le teint blanc !
Rondel.
Mademoiselle Valentine
A les yeux clairs et le teint blanc ;
Comme un calice étincelant,
Elle ouvre sa bouche enfantine.
Le rondeau, le sonnet galant,
Semblent croître sous sa bottine ;
Mademoiselle Valentine
A les yeux clairs et le teint blanc.
Son épaule ondule, mutine
Et pareille au flot nonchalant,
Et vous l’adorez en tremblant,
O mon cœur ! vous qu’elle piétine.
Mademoiselle Valentine
A les yeux clairs et le teint blanc !